
Ra la la le tableau de Munch qui m'a servi pr faire se dessin est vraiment beau!! Fond du dessin à l'encre de chine.
L’homme invisible
Pourquoi tu ouvres pas les yeux.
Ce soir on est seul tous les deux.
Je te parle, tu m’écoutes ?
Mais pourquoi ne me vois-tu pas ?
Pourtant je suis là près de toi !
Mon cœur lui n’a pas de doute.
Toujours seul toujours triste
Je suis bien trop sensible.
Toujours actif sur la piste
Je suis l’homme invisible.
Agir timidement,
Je ne sais faire que ça.
Je suis insignifiant,
Tu n’ peux rien faire pour ça.
C’est vraiment ma nature ;
Il faut qu’ j’accepte, pour sûr.
Le respect et la liberté,
Sont mes valeurs et mes idées.
Je suis seulement de passage devant toi,
Si maintenant tu me veux retiens moi !
Sinon retour vers mes pensées,
Juste pour cacher la vérité !
Délire
yaaaaaaaaahaaaa
Y a qu’a bien s’ tenir !
Prenons de l’élixir,
Dans la gorge ça coule …
Vite il faut fuir,
Car je suis saoul …
De plaisir !
Mais mais mais mais qu’est-ce que ça veut dire ?
Je ne veux plus y croire,
Totalement dérisoire !
Laissez juste s’accomplir,
Le moment du pur délire !
On dirait que rien n'est pareil
De nouveau on s'émerveille.
Juste l’espace d’un instant,
Qui est-ce qui décide,
De ce qui est perfide ?
Pause
Juste un petit moment
Posez là bas le stress
Respirez calmement
Et dans une douce caresse
Votre esprit se libère.
Subsiste le « laissez faire ».
Une chose vous échappe,
Et parfois tout dérape !
Dans la nécessité,
Afin de progresser,
Viens là tout arrêter.
Ressens cette chaleur
Puissance de l’intérieur.
Enfin se questionner
Et trouver qui l’on est.
Superficiel je suis
Je veux un rêve,
Un rêve merveilleux.
Celui qui me soulève,
D’ici à mille lieux.
La vie est bien trop brêve,
Pour un jour vivre heureux.
Dans ce monde aujourd’hui,
Superficiel je suis !
Mon âme reste dans l’impasse,
Quoi que je dise, quoi que je fasse !
Le monde est fade
Triste façade
Heureusement
Y a la musique
Et lentement,
Pour un instant,
On se laisse porter
Juste pour oublier !
Alors cette vie
Je la redoute.
Souvent je doute,
D’être vraiment
Un être vivant.
Mon âme se nourri
D’illusions pourries.
De rêves médiocres
Me dit « ocre »...
Alors sans vie,
Je suis parti.
Et je vous dit,
Du paradis:
Que la satisfaction,
Belle vie toujours rêvée
Se tiens là en faction,
Dans le simple s'est cachée!