Superficiel je suis
Je veux un rêve,
Un rêve merveilleux.
Celui qui me soulève,
D’ici à mille lieux.
La vie est bien trop brêve,
Pour un jour vivre heureux.
Dans ce monde aujourd’hui,
Superficiel je suis !
Mon âme reste dans l’impasse,
Quoi que je dise, quoi que je fasse !
Le monde est fade
Triste façade
Heureusement
Y a la musique
Et lentement,
Pour un instant,
On se laisse porter
Juste pour oublier !
Alors cette vie
Je la redoute.
Souvent je doute,
D’être vraiment
Un être vivant.
Mon âme se nourri
D’illusions pourries.
De rêves médiocres
Me dit « ocre »...
Alors sans vie,
Je suis parti.
Et je vous dit,
Du paradis:
Que la satisfaction,
Belle vie toujours rêvée
Se tiens là en faction,
Dans le simple s'est cachée!
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